Comment varie le champ vital

Le corps humain ou, plus précisément, son anatomie bioénergétique est fait pour capter des informations, les traiter et les retransmettre. Nous pensons que l’ADN et l’eau intracellulaire ont un rôle clé pour le passage du plan subtil (lié à l’information) au plan physique (lié à l’énergie).

Prenons l’exemple d’une personne contemplant la photo d’une scène pénible à regarder. Le cerveau va capter l’information et la traiter en fonction des mémoires collective, (transpersonnelle) et personnelle, réveillant des émotions et engendrant des modifications bioénergétiques puis physiques (chimiques, électriques, etc.). Divers rayonnements électromagnétiques et substances chimiques pourront alors être mesurés, montrant ainsi, de manière indirecte, comment le corps réagit. C’est bien cette réaction qui est mesurée et non ce qui provient de l’image en soi. Les réactions seront différentes selon le vécu émotionnel personnel. De même, le simple fait d’évoquer la photo va induire la même cascade de réactions.

Nous voyons ainsi comment l’information part du plan mental, passe par l’astral, puis l’éthérique et finit dans le physique. Ce principe est le même pour tous les êtres vivants – humains, animaux et plantes. S’il est clair que l’information prend ce chemin, il ne faut pas pour autant négliger le chemin inverse: une substance chimique, une posture particulière du corps peut éveiller des émotions et évoquer des situations vécues. Certaines thérapies ou certains arts martiaux permettent d’accéder à la mémoire du corps. Celle-ci est inscrite au niveau cellulaire, tant dans les plans subtils que physiques.

Capter les informations avec les yeux

Le regard a une importance particulière dans la captation d’informations. Certaines planches de ce livre ont été conçues pour s’y exercer selon l’endroit où le regard se pose. Comme le regard capte des informations, engendrant des variations éthériques (dilatation ou compression du champ vital), il est clair que si l’on veut accéder à la mémoire du corps et voir par exemple l’effet d’une photo, il est nécessaire de procéder à l’aveugle. Notez que parfois, il est intéressant de mesurer les yeux fermés, puis les yeux ouverts et de constater la différence. Bien que toutes les informations passent nécessairement par le cerveau, l’oeil a tendance à juger ce qu’il voit alors que le corps est davantage dans le ressenti intérieur. Il est toujours étonnant de constater les réactions d’une personne en posant une photo contre sa poitrine, sans qu’elle l’ait vu au préalable. Le corps physique ne voit bien sûr pas l’image, c’est sur le plan plus subtil – éthérique – que se passe la transmission de l’information.

Protocole de mesure bioénergétique

Tout support d’information, physique ou subtil, qui entre en interaction avec notre champ vital va le modifier en le contractant ou en le dilatant. Si dans un environnement donné, je modifie un paramètre, mon champ vital va réagir et m’indiquer l’influence du dit paramètre.

Ayant mesuré des dizaines de milliers de produits et autres phénomènes, je peux dire que pour tout ce qui nous entoure habituellement, ce qui est favorable dilate le champ vital, ce qui est néfaste le comprime dans une proportion variable, toujours en rapport avec l’impact: plus une nuisance est forte, plus le champ vital sera petit.

Pour obtenir des résultats reproductibles, il est important de respecter le protocole suivant:

1. Asseyez-vous à une table, la poitrine bien appuyée contre le bord de la table.

2. Cherchez une sous-couche de votre champ vital et placez un repère sur la table. La distance entre ce repère et votre poitrine est la valeur de base de votre champ vital (le 100 %).

3. Placez le produit à tester à portée de main et saisissez-le. Cherchez la nouvelle position de la sous-couche.

4. Déplacez le produit en face de vous et approchez-le tout contre votre poitrine pour une dernière mesure et posez un autre repère sur la table.

5. Mesurez la distance entre ce repère et votre poitrine. Divisez cette distance par la valeur de base (le 100 %). Vous obtiendrez alors la valeur bioénergétique du produit (exprimée en pourcentage).

Précautions à prendre pour le protocole

Une valeur bioénergétique de moins de 100 % signifie en général que le produit n’est pas bon à consommer.

Notez que la mesure est instantanée, elle ne tient pas compte de l’effet d’un produit dans le temps.

Ne mesurez pas des produits dans des emballages en aluminium, en acier et évitez le plastique. Le corps capte l’information d’un produit, pas besoin d’une grande quantité pour effectuer une mesure.

Lors de séries de mesures faites à l’aveugle, vous constaterez que les résultats sont parfaitement reproductibles pour autant que vous ne changiez pas de protocole et que l’environnement dans la bulle du champ vital reste le même.

Pour répéter des mesures et avoir des résultats stables, même à des années d’écart, je recommande de respecter les points suivants:

Mesurez toujours au même endroit, dans la même orientation.

Evitez les pollutions électromagnétiques et les nuisances géologiques

Ne portez pas de bijoux, de téléphone portable, d’appareils électroniques

Ne portez pas d’artifices (aimants, symbole, harmonisateur, « gri-gri » de protection, etc.)

La liste qui suit ne réserve guère de surprises, tout ce que l’on sait pertinemment être néfaste à la santé a des valeurs inférieures à 100 %.

De manière générale, les produits ayant subi des traitements chimiques ou électromagnétiques diminuent fortement le champ vital.

Le mode de cuisson

Je me suis intéressé au mode de cuisson en comparant les valeurs d’une carotte selon la manière de la cuire. Pour effectuer la comparaison, j’ai pris une grosse carotte coupée en rondelles, je l’ai cuite, et j’ai attendu qu’elle soit à température ambiante pour mesurer car tout produit dépassant la température de 40° diminue le champ vital. Afin de mesurer précisément la température, j’ai utilisé un thermomètre-laser.

Le résultat des mesures montre que plus un aliment est cuit rapidement ou plus il est cuit à haute température, plus sa valeur bioénergétique est faible. La cuisson au four micro-ondes est sans conteste le pire mode de cuisson, suivi de près par la poêle à frire. Des tests en double aveugle avec des carottes, du lait et de l’eau, montrent qu’il est très facile de trouver l’aliment cuit au four à micro-ondes, tellement
la différence est grande avec un aliment cru.

Sachant que la cuisson avec les appareils habituellement utilisés n’est pas favorable, il n’y a plus qu’à manger cru ou à trouver d’autres moyens cuisant à basse température, lentement et sans pollution électromagnétique. Restent donc le four solaire, la braise, les pierres chaudes … pour ceux qui ont du temps.

Liste des valeurs bioénergétiques

Ma liste des valeurs bioénergétiques suscite souvent beaucoup de questions. Je précise toujours que les mesures se font avec le produit, déballé si nécessaire, posé sur la poitrine. Tout ce qui se consomme est mis dans un verre (neutre bioénergétiquement), toutes les matières sont testées, avec une surface d’au moins 10 cm / 10 cm, placées sur la poitrine. Aucune substance n’est mesurée en la consommant car les valeurs peuvent être fort différentes et varier dans le temps.

Dynamisation mentale et spirituelle

Il existe de nombreuses façons de dynamiser les aliments après cuisson pour compenser la perte bioénergétique: bénédiction, prière, flamme violette, etc. Cela a un réel effet bioénergétique et parfois même sur le goût. Le goût étant subjectif, il est difficile de dire s’il y a eu modification physique de l’aliment ou si c’est simplement notre cerveau qui est influencé par une information subtile.

Des tests faits à l’aveugle démontrent que l’information intégrée à l’aliment est durable et que cela influence le goût, même des personnes qui ne sont pas au courant de la dynamisation. Si les rituels ne vous inspirent pas, vous pouvez simplement demander à votre corps de prendre ce qui est bon pour lui et de rejeter le reste.

Evitez surtout d’être stressé ou énervé en mangeant car le corps associera l’aliment aux pensées négatives au risque de créer des allergies.

Enfin, si vous mangez en pensant que vous mangez, et à rien d’autre, vous noterez que les aliments ont un autre goût et que vous les digérez mieux.

Comparatif avec des mesures électriques

Achetez des abricots ou des kiwis qui vous semblent mûrs, d’autres moins mûrs et numérotez-les. Avec un multimètre mesurant en micro Farad, plantez les électrodes, une à chaque extrémité du fruit et notez la valeur obtenue. Faites ensuite les mesures bioénergétiques, à l’aveugle, sans toucher le fruit. Placez votre main juste 2 cm au-dessus pour faire la mesure. Vous serez alors surpris de constater la concordance entre les valeurs physiques et bioénergétiques. Le fruit le moins mûr a une faible capacitance électrique et diminuera le champ vital, alors que ce sera l’inverse pour le fruit le plus mûr.