Historique de la découverte

C’est en 1998 que j’ai commencé à m’intéresser aux couches qui peuvent être ressenties avec les mains autour du corps humain. A la même époque, je découvre le Sonotest, un genre de diapason qui permet d’entendre ces couches en l’approchant ou en l’éloignant du corps. Avec le ressenti, confirmé par le Sonotest, je me mets à étudier la répartition spatiale de ces « couches énergétiques », depuis la peau, jusqu’à des distances atteignant plusieurs dizaines de mètres. Lorsque je découvre que cette répartition varie selon l’endroit où je me trouve, j’ai enfin un outil performant pour comparer l’énergie des lieux entre eux. En effet, jusqu’alors, avec deux amis, nous utilisions l’échelle de Bovis, bien conscients qu’une telle méthode était totalement subjective.

Grâce à ces couches que nous nommons « champ vital », il devient possible d’avoir une mesure, reproductible en tout instant dans des conditions similaires. En faisant des mesures sur plusieurs personnes, nous pouvons établir une moyenne des variations du champ vital. En faisant des dizaines de milliers de mesures, l’expérience nous montre que ces variations, exprimées en pourcentage, sont très similaires pour un échantillon donné de personnes. Pour valider cette méthode, nous avons effectué (et nous en faisons encore très régulièrement) des séries de mesures en double aveugle. L’outil statistique en démontre la fiabilité et la reproductibilité .

Depuis lors, la mesure du champ vital est devenue un outil très précieux pour évaluer l’impact de tout ce qui nous entoure. Si les aliments ont été les premiers à être comparés, nous avons continué avec quantité de produits, matières, médicaments, musique, lieux, etc. Tout est mesurable, l’effet d’une pensée, d’une planète, d’un symbole, même la présence d’êtres immatériels. Je comprends que cela fasse sourire certains mais il n’y a pas de différence, au niveau du champ vital, entre la présence réelle d’un phénomène, ou celle simplement pensée.

Un outil de détection quantique

Nous utilisons aussi la mesure du champ vital pour sonder la matière elle-même. Grâce au champ vital, il est possible de distinguer, à l’aveugle, deux produits ayant une composition chimique presque similaire, à un atome près. De même, nous arrivons aussi à distinguer l’une de l’autre, deux molécules d’une même substance se différenciant par leur géométrie. Ceci montre que le champ vital ne réagit pas seulement à ce qui est palpable et visible, mais aussi à l’infiniment petit. Au fil des années et des expériences, nous repoussons toujours plus loin les limites de la sensibilité humaine.

Mesurer l’infiniment grand

En se « branchant » sur une planète ou une étoile, nous constatons qu’il y a des variations du champ vital et que c’est parfaitement reproductible. En s’étalonnant sur des planètes, nous pouvons deviner sur quelle planète une personne est connectée mentalement. L’expérience est intéressante, même si nous n’avons aucune idée de l’origine des variations, à part l’idée que nous nous faisons de la planète.

Nature du champ vital 

Voilà des années que nous nous posons la question de la nature (physique et/ou subtile) du champ vital. En dépit de toutes nos mesures, avec les appareils que nous pouvons employer, nous n’avons toujours pas mis en évidence un quelconque aspect électrique, magnétique, magnétostatique, électromagnétique du champ vital. Certes, nos appareils sont limités dans leur bande de fréquence leur  sensibilité, mais nous avons l’intuition que ce n’est pas dans cette voie qu’il faut continuer à chercher.

La composante électromagnétique ou acoustique des couches du champ vital nous échappe encore.
Ce que je peux dire pour l’instant, c’est qu’il y a un rapport entre le champ vital et l’effet Kirlian. Plus les « flammèches » sont grandes, plus le champ vital est vaste et plus la « couronne » est dense, plus les couches du champ vital sont proches les unes des autres. Il y a donc bien une relation entre ce que nous ressentons avec les mains et le phénomène physique photographié.

Le Sonotest 

Lorsque le Sonotest traverse une couche, le son ne se propage pas de manière continue. Il semble se heurter à la couche, ce que notre cerveau traduit comme une variation sonore; le son semble passer d’une oreille à l’autre. Le phénomène est bien réel, mais nous n’en avons pas l’explication, probablement une différence dans la concentration des ions dans l’air. L’idée de détecter la position des couches avec le Sonotest est séduisante. Hélas, dans la pratique, il y a tellement d’autres phénomènes de même nature qui produisent le même effet que cela demande de connaître leur position exacte. Ce qui est certain, car vérifié avec un oscilloscope, c’est qu’il n’y a ni variation d’amplitude, ni variation de fréquence. Notre cerveau travaille en mode binaural (rien à voir avec la stéréo) et ceci lui permet de savoir d’où vient un son. L’oreille perçoit donc une différence dans la propagation du son et le cerveau la traduit par une différence d’intensité sensorielle.

Le champ vital proche

En m’éloignant du corps physique, je distingue trois zones: le champ proche, le champ médian, le champ lointain.

Le champ proche va de 0 à 20-25 cm. Il se compose d’une multitude de couches très fines, dont l’espacement devient de plus en plus petit en s’approchant de la peau. Elles sont si ténues qu’il est difficile de les distinguer. Le champ proche est un réservoir de couches pour le champ médian.

Je pense que les couches les plus proches sont si denses qu’elle forment une « limite » au corps physique et peut-être même que ce sont elles qui rendent palpable notre corps physique. Ce serait la « matière subtile » qui formerait la « matière dense » (que nous pouvons toucher et voir) par condensation, par compressions successives des couches éthériques.

Le champ vital médian

Le champ médian est celui que j’ai le plus mesuré et cartographié. Il se compose d’un nombre variable de couches, appelées « sous-couches », entre 150 à 250 cm (80 % des cas).

L’espace entre les couches varie entre 20 et 40 cm, communément 30 cm. Dans l’idéal, elles ont un espacement régulier, mais parfois cet espacement s’agrandit en s’éloignant du corps. Les personnes qui n’ont pas un espacement régulier semblent être davantage affectées par les nuisances de leur environnement. L’épaisseur des sous-couches varie aussi, de 1 cm à environ 3 à 5 cm, pour la dernière couche du champ médian.

Cette dernière couche est appelée « bulle du champ vital » ou plus simplement « champ vital ». Lorsque je parle de mesure du champ vital, il s’agit de cette couche particulière, un peu plus épaisse que les autres, donc plus facile à ressentir avec les mains.

Cette bulle représente notre espace vital. Ainsi tout ce qui se trouve à l’intérieur ou qui pénètre la bulle est aussitôt capté  et transmis au cerveau qui va le traduire en sensations diverses.
De manière générale, pour ne pas subir son environnement, il vaut mieux avoir de nombreuses sous-couches réparties de manière régulière que peu de sous-couches et un espacement irrégulier. Comme le nombre de sous-couches dépend aussi de la dimension de la bulle, il est clair que plus un champ vital est grand, plus il y a de sous-couches.

Chaque sous-couches est en quelque sorte une « cuirasse » de protection. Trop de couches est le signe d’une surprotection qui induit des comportements menant  souvent à un surpoids. L’image des couches est représentative des aspects physique et surtout psychologique d’une personne.

La bulle du champ vital et ses sous-couches  ne doivent pas être confondues avec ce que les clairvoyants nomment « corps émotionnel », « corps astral » ou « corps mental ». Ces corps sont plus subtils que le champ vital éthérique et ne peuvent être vus et ressentis que par ceux qui voient l’aura. Partez du principe que tout ce que vous ressentez avec les mains n’est que de nature physique ou éthérique.

Champ vital lointain

Le champ lointain commence à partir de la bulle et s’étend sur des dizaines, voire des centaines de mètres. Les couches qui forment le champ lointain sont beaucoup plus larges que la bulle, avec un espacement irrégulier, mais qui se répète toutes les 7 couches. Ce champ forme un système d’harmoniques et d’octaves dont le point de départ est la bulle du champ vital médian.

Vous pouvez considérer que le champ lointain est notre système d’alerte (passif) et notre « rayonnement » (actif).

Le cloisonnement du champ vital 

L’ensemble du champ vital forme un système tridimensionnel qui structure l’espace autour du corps. En plus des couches décrites jusqu’à présent et qui s’emboîtent les unes dans les autres comme des poupées russes ou des pelures d’oignon, il y a un cloisonnement dans les deux autres directions (donc perpendiculaires au corps). Ce cloisonnement quadrille l’espace à l’instar des longitudes et des latitudes du globe terrestre. La répartition du cloisonnement dépend de la forme du corps physique.

Parmi les éléments (plans et cônes) qui composent le cloisonnement, il y en a trois qui sont particulièrement intéressants et que nous nommons « plan vertical », « plan horizontal » et, « plan latéral ». Ils forment les axes du champ vital.